Journée internationale des droits des femmes : soutenons l’association NEMESIS !

Une manifestation est prévue ce jour à Paris dans le cadre de la journée internationale des droits des femmes à l’initiative d’associations regroupées en collectif pour l’occasion et prônant l’intersection des luttes.

Sauf que le collectif semble très sélectif et que l’intersection des luttes n’est pas complètement au rendez-vous.

Si les associations dites « ultra-gauches » seront, elles, autorisées à participer à cette manifestation, il n’en est pas de même de l’association NEMESIS, cataloguée par nos chers media (trop chers media) à l’extrême-droite de l’échiquier politique. Comme quoi, la défense des femmes, aussi noble soit-elle, obéit là-aussi à un phénomène d’ostracisation bon teint de la part de mouvements semblant détenir la vérité dans cette lutte et, surtout, se réservant le droit de définir ce qui est bon et ce qui est mauvais pour la gente féminine.

Personne ne saura donc surpris d’apprendre que loin du message universel censé être diffusé lors d’une telle journée (pourtant internationale…), ces associations en profitent pour restreindre la lutte à celle poursuivie contre ces infâmes mâles blancs, dominateurs, hétérosexuels qui imposent leur force aux femmes et les violent sans vergogne.

Seront donc passés sous silence les exactions de ces hommes que l’on a pourtant accueillis sur notre territoire et qui, à la simple vue d’un genou, d’une épaule dénudée ou d’un poignet partent en transe et commettent l’irréparable : un viol. Quand il n’est pas suivi d’un meurtre… Il faut bien faire taire la victime.

Dans ce contexte absurde, les associations de gauche, largement subventionnées comme chacun sait par des édiles complices, notamment la mairesse de Paris, menacent purement et simplement de refouler NEMESIS à l’entrée de la manifestation. Sarah Knafo aussi…

Si nous sommes bien conscients que le viol effectué par un OQTF ou celui d’un bourgeois blanc bon teint revêt la même ignominie, la même saloperie, le même dégout, ce combat mené par ces femmes de NEMESIS, engagées et sincères, est digne et ne devrait pas être politisé de façon aussi caricaturale, les questions de fonds notamment celles portant sur les choix sociétaux de notre pays étant parfaitement légitimes.

De ce point de vue, IDNF ne peut que soutenir leur démarche et face à l’agitation qui règne aujourd’hui dans notre patrie, plus que jamais nous regrettons l’absence d’unité de ces mouvements se proclamant pourtant en collectif mais refusant d’élever un débat qui permettrait de mieux servir la cause des femmes et non leur petit pré carré.

Toutes les violences faites aux femmes sont à proscrire.

Amitiés patriotes

P.MAGNERON