ET « EN MÊME TEMPS », LE PAYS SE MEURT…

A quoi bon revenir sur ce que tous savent désormais au sujet du potentat élyséen ? Son arrogance vis-à-vis du peuple n’a d’égal que son mépris vis-à-vis du mandat que les Français lui ont malheureusement confié, qui plus est à deux reprises… Certes avec une faible minorité de votants mais ça en dit long sur l’incapacité chronique de nos concitoyens à identifier clairement, au moment du scrutin, les intentions malhonnêtes, mais pourtant affichées, du principal responsable de la désastreuse situation dans laquelle le pays se retrouve plongé, occupé qu’il était cette semaine à panthéoniser de sa voix douce, dans une posture théâtrale, à essayer tant bien que mal à faire oublier ses navrants échecs, désormais aujourd’hui les nôtres.
Oui, les nôtres. Car force est de constater notre engourdissement, notre impéritie, quand il ne s’agit pas de notre imbécillité, à unir nos forces pour se débarrasser une bonne fois pour toutes d’un dictateur dont le prochain volet de son action consistera vraisemblablement à prendre les pleins pouvoirs et nous entraîner dans le chaos.
Pendant ce temps-là, le pays se meurt. A petit feu… Là aussi, que n’avons nous pas dit, écrit, proclamé au haut et fort quant à l’abandon des services publics, les faillites toujours de plus en plus nombreuses des entreprises, le ras-le-bol fiscal de concitoyens issus de cette classe moyenne usée jusqu’à la corde, physiquement, moralement et économiquement.
70 0000 défaillances d’entreprises pour 2025, soit une troisième année consécutive illustrant les difficultés toujours plus nombreuses de l’appareil productif français à faire face à une concurrence internationale toujours plus exacerbée en l’absence de règles les protégeant notamment face à l’appétit vorace des « majors » prédatrices US. Ces défaillances constituent aussi une conséquence directe de la fameuse période du « quoi qu’il en coûte » instaurée par notre Mozart de la finance bien aidé en cela par son affidé écrivain pornographe au ministère de l’économie. Car en plus de l’argent « magique » dépensé allègrement pendant la période COVID, il faut désormais tenir compte des liquidations en pagaille d’entreprises qui, rappelons le, n’avait certainement pas demandé d’être stoppées net en 2020 et 2021 et à qui aujourd’hui l’Etat demande de rembourser les PGE (Prêts Garantis par l’Etat), véritables bombes à retardement d’une économie française à bout de souffle.
La nomination d’un Premier Ministre et d’un gouvernement digne de ce nom en viendrait presqu’à en être secondaire si la situation tragi-comique de ces derniers jours n’illustrait au fond à elle seule l’incompétence crasse et, répétons le, le mépris affiché par une nomenklatura trop occupée à conserver ses prébendes plutôt que d’agir dans l’intérêt des concitoyens et de la Nation. Que nous importe de savoir si le gouvernement Lecorniaud II aura une durée de vie plus longue qu’un match de foot quand tout porte à croire que les décisions se prennent ailleurs et contre l’intérêt des Français.
Encore combien de temps devront nous supporter cette humiliation permanente ?
P.MAGNERON
Quosque tandem abutere, Macro, patientia nostra?
Patere tua consilia non sentis, constrictam iam horum omnium scientia teneri conjurationem tuam non uides?
je vais faire une comparaison un peu osée avec le « tenia » ver intestinal formé d’anneaux : On
peut expulser ( destitution, démission) un , voire même plusieurs anneaux … tant qu’ on aura pas
éradiquer la TETE !!
Le covid et son accompagnement était fait pour démolir les entreprises, c’était prévu. Le gouverne-ment travaille au sabotage et à la liquidation de tous nos biens, de préférence au bénéfice des USA, cela depuis des années…
La majorité des militaires de haut rang est unanime pour dire que ce type est DANGEREUX et incompétent. Le peuple n’en peut plus. Pourquoi ne se decident-ils pas à faire 1 coup d’état, qui ne veut pas dire qu’il y aura le bordel bien au contraire, cela permettra à la France de s’en sortir et d’arrêter l’hémorragie. Ce n’est pas 1 plaisanterie de ma part, il y a vraiment urgence.
Hélas d’accord, VRAIMENT URGENCE!