De la provocation, encore de la provocation, toujours de la provocation…
« Les cons, ça ose tout, c’est même à ça qu’on les reconnait. » disait Audiard. Loin de moins l’idée d’insulter le gamin mais cette phrase s’applique aussi parfaitement à tout ceux qui passent leur temps à titiller, aiguillonner, chatouiller, agacer, lancer des petites piques… en attendant de se prendre une grande claque dans la gueule car, ne sachant jamais s’arrêter à temps, ils en viennent à faire perdre leurs nerfs au monde qui les entoure.
« Les provocateurs, ça ose tout, c’est même à ça qu’on les reconnait. » Ca marche. Néanmoins, dans le cas présent, nous sommes malgré tout assez loin de l’audace déclamée (et réclamée) par Danton au moment de l’invasion de 1792 par les troupes autrichiennes et qui lui avait permis de fédérer toutes les forces de la nation contre l’ennemi. Oser oui mais pas n’importe comment.
« De l’audace, encore de l’audace, toujours de l’audace. » Oui mais voilà, Macron n’est pas Danton. Le coup de menton, (un menton rasé de près que l’on sent fragile), le torse bombé (dans son uniforme trop étroit de petit fondé de pouvoir), la fausse allure martiale ne suffisent pas à incarner l’attitude d’un chef. Nous sommes bien loin de la puissante laideur d’un Danton, de sa force oratoire et de son physique à la Depardieu (à moins que ça ne soit le contraire…), gargantuesque, bestiale, balayant toutes les convictions sur son passage.
Oser c’est prendre des risques. Bon, alors là, nous y sommes. Des risques, reconnaissons le, il en prend. Beaucoup. Pas pour lui, non. Je ne le vois pas partir en première ligne et sortir de la tranchée, hurlant, le visage déformé par le cri, « parce que c’est notre projeeeeet… » Non, franchement non.
Des risques pour les autres, ah ça oui. C’est facile et puis comme l’opposition semble aux abonnés absents, ça occupe l’espace mediatique. De tous les media, les mainstream comme l’on dit en bon français, ces bons toutous bien dressés à coup de subvention publique ou de copinage (ah ce capitalisme de connivence…).
La dernière preuve en date (une épreuve pour nous tous) est l’entretien accordé ce jour au Parisien (de Bernard Arnault…). Les provocations continuent de plus belle, enfilées comme des perles :
« Peut-être qu’à un moment donné — je ne le souhaite pas, n’en prendrai pas l’initiative —, il faudra avoir des opérations sur le terrain, quelles qu’elles soient, pour contrer les forces russes. La force de la France, c’est que nous pouvons le faire. »
« L’Allemagne a une culture stratégique de la grande prudence, de non-intervention, et elle se tient à distance du nucléaire […] Un modèle très différent de celui de la France, dotée de l’arme nucléaire et ayant gardé et renforcé par une armée de métier »
Comme dirait le Général DELAWARDE, à chacun de se forger son opinion, bien sûr… Mais tout de même, qu’avons nous mérité pour avoir un gugus pareil ? Devons nous répéter à l’infini, comme lui d’ailleurs, que nous n’avons pas les moyens de cette politique de va t en guerre et que nous ne voulons pas de cette politique téléguidée outre-atlantique ?
La France a les moyens de contrer les forces russes ? Comment ? Pendant combien de temps ? Sur quel sol ? Ukrainien ? Français ? Depuis quand deux pays disposant de l’arme nucléaire s’affronteraient elles ? Que se passera t il si l’un des deux cobélligérants perd le contrôle sur le terrain ? Appuiera t il sur le bouton et déclenchant là le chaos nucléaire ? Nous ne sommes même pas capables de tenir un front de plus de 80 kms, pas assez de cartouches au delà de trois jours, nos canons césar donnés à l’armée ukrainienne, notre industrie de défense à recomposer… Et j’en passe.
« L’Allemagne a une culture stratégique de la grande prudence, de non-intervention… » L’Allemagne d’Olaf Scholtz est prête à nous suivre dans ce délire ? Depuis quand ? Son économie perd progressivement tout son éclat. Les entreprises allemandes coulent les unes après les autres depuis le renchérissement du coût de l’énergie et notamment du gaz dont elles sont dépendantes à 200 %. Et nous lui demanderions de dépenser ces excédents budgétaires pour une guerre qui la détruit ?
« Si vis pacem, para bellum… » (Si tu veux la paix, prépare la guerre). Ne serait il pas plus sage de temporiser, d’arrêter de claironner sur les toits que nous sommes forts, puissants alors que notre armée est une armée de poche, certes professionnelle et performante en OPEX mais inadaptée à un conflit de haute intensité ? Arrêtons de nous faire aussi gros que l’ours russe !
« Si vis pacem face bellum… » (Si tu veux la paix, fais la guerre). Voilà la devise de notre chef illégitime. Or, nous n’en avons pas les moyens. Tout comme depuis le début de son investiture, nous n’avons pas les moyens de sa politique. Jamais un président n’aura creuser autant nos déficits. Jamais un président n’aura détricoter aussi méticuleusement que possible notre pays en vendant nos industries, en ouvrant nos marchés et sacrifiant nos petites entreprises.
La Nation ne l’intéresse pas. Notre peuple ne l’intéresse pas.
Non à la folle poursuite de cette politique !
Amitéis patriotes
P.MAGNERON
Tout est dit , il n’y a rien à rajouter. Merci monsieur, puissiez-vous être lu et surtout compris et reconnu par les millions d’imbéciles qui croient encore en lui sans qu’on sache exactement pourquoi.
Tout est dit , il n’y a rien à rajouter. Merci monsieur, puissiez-vous être lu et surtout compris et reconnu par les millions d’imbéciles qui croient encore en lui sans qu’on sache exactement pourquoi.
Merci à vous !
Bonjour, le seul costume qui sied à E.M est un costume en sapin. Les guignols font rire, pas lui.
A quand le mot d ‘ordre pour vous suivre et prendre la rue…..pacifiquement …à la Ghandi ?
Partagé Emilio Pagura Revue de Presse et d’opinions
Merci Emilio !
Ce gugus de banquier joueur de poker , ce type n ‘aime pas du tout la France , après l ‘avoir pressée comme un citron sec , il ne pense qu’à une chose avant tout que si le bateau coule ?
Les rats quitteront le navire très vite pour tracer leur fuite en avant avec leur Alpha-Jet , direction l’Amérique du sud ou un pays de ce genre déjà en vue ?…
A surveiller très vite
Le plus triste et inquietant dans cette histoire, c’est que les medias lui sont totalement acquises et relaient chaque jour ses délires….Aucune voix d’opposition ne s’exprime auprès des francais au cerveau lessivé qui « marchent en somnambules » vers le pire des conflits ….
Est-ce qu’il portait un pantalon Anti-G?
Vivement les prochaines élections pour une grosse claque aux européistes d’une part et plus tard les présidentielles. Le petit gugusse portant l’uniforme militaire est inacceptable. Encore eût-il fallu que ce gugusse ait fait son service militaire. Un homme ayant fait son service militaire peut endosser le digne costume de nos forces armées. Et une femme pourrait prétendre à ce poste à la présidence car le service militaire n’était pas obligatoire pour la gente féminine à cette époque.