Etre souple comme le cuir, mais trempé comme l’acier pour être et durer
« A Toul, une statue pour honorer un général tortionnaire… » C’est par ces mots infâmes, lâches, traitres que les rédactions de presse, débordantes de puanteur nauséabonde, grotesque dans leur pensée unique wokiste, dégénérée, minable insultent la mémoire et l’action d’un homme dont les seuls torts sont d’avoir été au service de la Nation, d’une patrie qu’il chérissait au delà de tout, au service de ses hommes qu’il emmenait au combat, à la mitraille, au contact, ses hommes qui le suivaient fidèles, dans l’honneur, au péril de leur vie.
Cette phrase lâchement recopiée d’une vulgaire et médiocre dépêche AFP comme un écho imbécile fait honte à ses auteurs, incapables de reconnaître l’action, l’engagement sincère et ultime d’un homme dont l’image est définitivement associée à celle de cette noble institution, l’armée.
A lui qui disait que « s’il avait été algérien, il aurait été fellouze« , que lui reproche t on ? D’avoir affirmé que la torture était nécessaire ? Mais comment croyez vous que le renseignement d’informations capitales s’obtient en temps de guerre ? En étant poli ? En envoyant un courriel et en le terminant par « Cordialement » ? Quelle bande de dégénérés abrutis, dégoulinant de faux sentiments humanistes peut encore croire à la vérité d’une guerre propre, celle tant vantée par les media américains lors de la première guerre du Golfe, souvenez vous, les frappes chirurgicales, les vidéos de missiles pointant vers l’objectif, pilotés à distance par un ingénieur tranquillement assis dans son fauteuil à des milliers de kilomètres, sirotant son coca tout en délivrant la mort le doigt sur le bouton ?
Qui peut croire que la guerre s’effectue en toute mondanité quand la bidoche, les longues agonies, les pleurs des enfants et des mères vous hantent parce que vous n’avez pas su faire parler celui qui sait, lui, où la bombe est posée ?
Voilà où nous en sommes. Les mêmes qui veulent aujourd’hui en découdre avec la Russie (ce sont les mêmes, garantie 100 %) déboulonnent à tout va, crachent sur la mémoire de ceux qui, par leur exemplarité, ont été des modèles à suivre dès leur vivant. Nous aurions besoin de ces modèles, disons le de ces héros, les vrais, pas ceux fabriqués en image de synthèse, ceux fait de chair et de sang, qui protègent, sécurisent et font espérer tout un peuple, j’ai bien dit tout un peuple y compris ceux qui le méprisent aujourd’hui de leur petitesse d’esprit et de leur inculture confondante et qui seront les premiers à les implorer de les secourir face au danger.
Le « con glorieux » ne vous salue pas.
Amitiés patriotes
P.MAGNERON
Surtout que ce sont ceux-là même qui défendent ladite révolution de 1789 qui était en vérité un coup d’Etat fomenté par la bourgeoisie avide de pouvoir, qui occupent encore aujourd’hui les postes du pouvoir, et qui ont inventé la Terreur.
Partagé Emilio Pagura Revue de Presse et d’opinions
on va demander a lechypre s’il emmènerai les fellagas entre 2 policiers au centre de vaccination…ni oubli ni pardon!!!!!!!!!!!!!!! haute trahison et complicité de génocide!
Les mêmes qui applaudissent ces propos ont « oublié » de s’indigner quand Georges Frèche, Maire de Montpellier, a fait placer une statue de Mao de 3 mètres en place publique (Mao, un expert en tyrannie et tortures). Quant au blanc-bec « émoustillé par les peaux noires » (dixit Fabrice Eboué, son ex camarade de lycée), il n’a visiblement pas vu le film canadien » J’ai serré la main du diable » sur le génocide au Rwanda. Dans ce film, basé sur le témoignage du lieutenant-général Québécois Roméo Dallaire (chef des casques bleus au Rwanda), celui-ci rencontre Paul Kagamé qui lui explique tranquillement : « Dites leur (à la France) que Kigali peut accepter plus de morts que Paris ». Un bel exemple de cynisme politique qui montre aussi le peu d’intérêt que ce chef rebelle (Tutsi) portait à la vie des civils Tutsis. Finalement, plus le pays sombrait dans le chaos, plus le pouvoir devenait facile à prendre… Dernière remarque : qui a été envoyé par la France pour négocier avec Kagamé l’arrivée (après 72 jours de génocide) des troupes Françaises ? Un certain Bernard Kouchner, qui a montré ensuite son savoir-faire en tant que Haut représentant du secrétariat général de l’ONU au Kosovo. Avec les résultats qu’on peut tous « admirer »…
Merci M. Magneron pour votre commentaire plein de bon sens et de patriotisme