Le transsexualisme au service du cosmopolitisme
Cette supercherie que l’on nomme « transition de genre » cible d’abord la jeunesse, plus précisément la jeunesse occidentale, imposture promue pas nos médias de masse, singulièrement au sein du service public via notamment, pour exemple, le long métrage documentaire Petite fille diffusé par ARTE en 2020. Il s’agirait de passer comme bon nous semble d’un « genre » à l’autre. Précisons d’abord que le genre n’existe que dans sa catégorie sociologique, artistique, philosophique, grammaticale et biologique ; le seul terme juste à employer dans notre cas est celui de « sexe ». Cette volonté proprement satanique de transgresser l’immuable, de détruire le corps dans ce qu’il a de plus tangible, représente le but ultime de l’idéologie dominante : détruire l’inné, abolir la totalité des différences afin de faire advenir le marxisme le plus radical qui soit, non plus désormais que sur le plan économique, mais sur ce qui fonde les individus dans ce qu’ils ont de plus charnel. Car la biologie est bien la seule barrière que la gauche ne peut dépasser, elle qui pense pouvoir tout défigurer via les milieux universitaires, les sciences sociales et la psychologie, elle se trompe. Le mensonge selon lequel un individu se disant prisonnier, né « dans le mauvais corps », est ce but ultime que la gauche essaie d’atteindre, la domination des esprits par le contrôle des corps. Or, le sexe n’est pas assigné à la naissance, il est constaté par le médecin.
Démystifier le concept de « transition de genre »
Rétablissons un peu les faits, si une « transition » est possible, elle ne l’est que physiquement et de façon superficielle, jusqu’à un stade qui ne peut pas dépasser notre état naturel sexué. En fait, il s’agit de travestissement et non d’un réel changement. Il n’est qu’à voir par quelles horreurs un corps peut se grimer en celui de son sexe opposé via des opérations relevant des expériences du docteur Frankenstein, véritables mutilations sexuelles couplées à une prise obligatoire et quotidienne de bloqueurs de puberté, véritable douleur psychologique endurée par le « patient »… Personne ne peut ne serait-ce qu’accepter cette mascarade, ce mensonge, cette boucherie organisée et promue par les cosmopolites. Car si l’enfant peut se questionner quant à sa place dans ce monde, le diriger vers cette idée que « changer de genre » réglerait ses problèmes est un mensonge. D’ailleurs cette idée de propagande selon laquelle un enfant se questionnerait sur son identité sexuelle est totalement mensongère, qui de près comme de loin, dans votre entourage ou vos proches, s’est déjà demandé s’il était bien une fille ou un garçon ? Personne ou presque, car souvent, le mal est ailleurs. L’enfant étant la personnification de l’immaturité, il n’a pas la conscience nécessaire pour prendre une décision pareille, il s’agirait plutôt de s’interroger quant au rôle des parents dans cette volonté de changement : enfant se sentant moins important que l’un de ses frères et sœurs, le père ou la mère dont la volonté était d’avoir un enfant du sexe opposé créant ainsi un sentiment de mal être chez l’enfant, voire une agression sexuelle dans le cadre familial ou non, etc.
Contrecarrer la propagande
Le meilleur remède contre cette folie, ce sont les images ! J’invite toute personne acquiesçant à ces folies à regarder la vidéo de l’une de ces opérations, notamment la mastectomie (ablation totale ou partielle de l’un ou des deux seins), la phalloplastie (création d’un sexe masculin artificiel par l’utilisation de morceaux de peaux retirés du corps du charcuté ; érection possible via un système de pompe lié à un implant pénien « gonflable »), ou encore la métaiodoplastie permettant de masculiniser les parties génitales féminines, soit créer un phallus en allongeant le clitoris, une alternative à la phalloplastie, sans greffe cette fois…Tout un art ! Négation de la morale naturelle, négation du caractère inaliénable et chrétien des corps et de l’âme, ces derniers ne sont plus que des jouets au service de médecins, si tant est que nous pussions encore les considérer comme tel. Ce soi-disant remède détruit des vies, il les condamne à nombre de souffrances, plus encore : il les trompe. Car c’est d’abord d’une faille psychologique dont provient le mal. La psychopathologie est souvent la cause qui précède la volonté de « changer de genre », on peut notamment parler de dépression, d’autisme ou encore d’anxiété. Là encore, le rôle de la famille est lui aussi à considérer. Le concept de « genre » et de « transidentité », jusque là très relatif jusqu’aux années 2010, s’est vu ensuite se démocratiser chez les adultes et plus encore chez les enfants et les adolescents. Ce que l’on nomme aussi « dysphorie de genre » soit la souffrance ressentie par une personne qui ne se sentirait pas du sexe naturel dont il est pourvu, concerne cinq à six fois plus hommes que de femmes. Rappelons au passage que jusqu’au premier janvier 2022, les transsexuels étaient considérés par l’OMS comme des malades souffrant de troubles mentaux et du comportements… Car il est une vérité des plus élémentaires : le sexe est constaté à la naissance et non pas assigné, ce qui signifie que cette théorie selon laquelle le genre de l’individu serait le « mauvais » est nulle et non avenue, il n’y as pas de « vrai » ou de « mauvais » genre, mais bien un corps sexué qui n’est pas un genre ressenti.
Soumission juridique au dogme du transsexualisme
Le changement de sexe est entré en vigueur dans le Code civil avec la loi du 18 novembre 2016. Ainsi, et ce sans même avoir procédé à une modification physique quelle qu’elle soit de la part de l’individu désireux de modifier son état civil, ce dernier peut désormais le commuter à sa guise. Les majeurs comme les mineurs émancipés peuvent donc faire la démarche pour changer le sexe inscrit sur leur état civil d’après leur seule volonté. Aucune limite de changement n’est indiquée dans la loi, ouvrant alors la possibilité d’un changement à foison. L’individu peut, s’il le souhaite, changer de sexe comme le temps change au gré des saisons, c’est proprement délirant ! Ainsi le ressenti d’un individu ordonne au Code civil de s’adapter, et non l’inverse, ce qui ouvre la portes à des possibilités potentiellement infinies ! Une personne âgée pourrait désirer voir sa date de naissance changée, un homme pourrait vouloir se désigner d’une race qui n’est pas la sienne, voire même, allons plus loin, se considérer comme tel ou tel animal. Quid du sens du mariage déjà subverti par les unions d’invertis? Cette boîte de Pandore, c’est la porte ouverte vers Sodome et Gomorrhe ! Ce qui donne in fine la cérémonie d’ouverture des Jeux olympiques de Paris 2024, affreux souvenir… Mais l’évolution la plus perfide est bien la fameuse « circulaire Blanquer » du 29 septembre 2021, véritable marqueur idéologique de prévalence cosmopolite sur le réel biologique. L’objectif affiché est clair : « Pour une meilleure prise en compte des questions relatives à l’identité de genre en milieu scolaire »…de la folie ! L’enfant peut désormais, et selon son souhait, changer de prénom comme bon lui semble, sommant ainsi à son professeur de le nommer selon son désir, voire de le considérer comme étant du sexe opposé, malgré la réalité des faits. L’élève peut aussi utiliser les toilettes du sexe opposé, les douches et les dortoirs. Ainsi l’enfant impose son choix à tout le personnel scolaire qui a l’obligation juridique de respecter et de prendre en compte le choix de ce dernier sous peine de poursuites judiciaires. Véritable inversion hiérarchique plaçant l’enfant en position de supériorité sur les adultes, même sur ses propres parents alors impuissants face au choix de leur enfant. L’éducation prétendument nationale n’est bien qu’une machine à propagande idéologique, elle broie nos enfants, les endoctrine avec sa « laïcité » appliquée à toutes les sauces, nous rongeant jusqu’à l’os, promotion du relativisme religieux inclut. Cette évolution juridique proprement démoniaque, symbole même de l’idéologie soixante-huitarde, est fondamentalement immonde et immorale. Factice régime laboratoire de l’inversion des valeurs et de la destruction de la morale par ce qui nous sert de gouvernement, véritable république bananière ploutocratique et cosmopolite.
Symbole apologète du libéral-libertaire
Si l’on impute fréquemment au transsexualisme d’être née dans le cerveau malade de prétendus intellectuels américains, il convient plutôt de s’intéresser à la « French Theory », mouvement précurseur de l’idéologie wokiste LGBTQ+. Courant intellectuel initié des sciences sociales, son objectif consiste en la déconstruction de nombre d’œuvres, d’auteurs, de monuments, ou encore des races et des sexes. La gauche française et la gauche américaine issues des universités enclenchent alors un mouvement idéologique puissant qui conduira fatalement à la révolution culturelle de mai 68. S’ensuit entre autres études de genre, études postcoloniales, études culturelles, etc. Parmi leurs fondateurs les plus emblématiques : Simone de Beauvoir et Claude Lévi-Strauss, véritables précurseurs du wokisme, ce poison occidental dont le transsexualisme n’est que l’une des ses nombreuses composantes. De la promotion constante de cette idéologie du transsexualisme en découle le relativisme, non pas que religieux, mais bien physique, biologique, soit de l’indicible le plus primaire. C’est d’abord une arme dont la portée est de détruire le catholicisme puis la nation, vectrice de la laïcité et accompagnatrice de l’idéologie destructrice cosmopolite et d’asservissements des peuples. Car qui peut muer une fois peut muer multiple fois, s’adaptant à son environnement, échappant à sa condition naturelle, laquelle ne peut pourtant par définition nous échapper. Véritable escapade en dehors du réel, quand l’imaginaire prend le pas sur ce que nous sommes, tels des condamnés cherchant une issue qui n’existe pas. « Interdit d’interdire » n’était-il pas leur slogan ? Dany le rouge s’en souvient, les enfants aussi. Car c’est bien là la souche de toute cette folie, la révolution culturelle abandonnant le nationalisme pour laisser place au mondialiste le plus asservisseur et le plus destructeur qui soit. Un monde au sein duquel tous et toutes (d’après leur vocable) auraient une place : destruction des races via le métissage à marche forcée, annihilation des religions par leur fédération, extinction des cultures par leur agrégation au dogme laïcard, multiplication des mulâtres et des cheveux bleus adorateurs du veau d’or dont la vie n’aura plus aucun sens si ce n’est par l’orgie des sens et l’intensification des plaisirs, apoplexie de l’intelligence par la surconsommation de drogues, de programmes télévisés débiles et de fainéantise démocratisée. Cette chute de la civilisation occidentale, autrefois la plus raffinée, la plus puissante, la plus noble, est celle que nous devons éviter et qui se trouve juste sous nos yeux. Car l’ennemi est d’abord à l’intérieur, plus malin, plus vicieux, moins perceptible, il est pourtant là, face à nous ! Il ne porte pas d’uniforme mais se drape dans les couleurs de l’arc-en-ciel. Ne leur laissons pas l’arc-en-ciel !
Florian ADAM.