Trump Junior et les enhanced games : l’important c’est de gagner !

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P.MAGNERON

2 thoughts on “Trump Junior et les enhanced games : l’important c’est de gagner !

  1. Merci pour cette démonstration- constat si charpenté.
    « L’important, c’est de gagner ! » ?
    Non ! Aux J.O, et partout dans les Défis entre Humains GAGNER SANS TRICHER est aussi Le PLUS IMPORTANT.
    La course pour La médaille ne justifie pas l’emploi de moyens illégaux .
    Et Zut à nos Temps devenus si Tragiques où tout semble bon pour menacer de façon Existencielle
    Le Panache de Cyrano for ever !
    Les Ehanced games de Donald junior ? De pire empire Nous nous opposons au père, mais le fils est aux manettes ..1789 Capital fund
    Sans oublier le pire parmi les pires : notre front Interieur qui entre dsns le sport, les écoles, les hôpitaux, chez les gauchos…l’Islamisme…
    Bref.
    Rester un garçon positif, Claude!

  2. Concernant le sport, rien de nouveau depuis la série d’articles d’Albert Londres « tour de France, tour de souffrance » des années 1920 où il rapportait l’usage de la cocaïne et autre « stimulants » par les coureurs et plus récemment (1999), toujours chez nos cyclistes, le livre de l’ex-camarade de R. Virenque, E. Menthéour, « SECRET DEFONCE – Ma vérité sur le dopage »… Inutile de rappeler les cas Greg Lemon et autres côté anglo-saxons et bien sûr celui des sportifs des pays « de l’Est », notamment aux JO, en service commandé de guerre froide au service de la Patrie Socialiste, là encore parfois jusqu’à la mort…

    Côté militaire, dès la Seconde Guerre mondiale (sans parler des époques bien plus anciennes, plus « artisanales »), l’usage des amphétamines et méthamphétamine – Pervitine allemande et Benzédrine US est bien connue et l’usage militaire toujours d’actualité – voir par exemple:

    https://www.sciencepresse.qc.ca/opinions/ariel-fenster/2012/07/13/amphetamine-guerre

    https://shs.cairn.info/revue-mouvements-2016-2-page-100?lang=fr
    Les drogues et la guerre
    Par Lukasz Kamienski,

    Bref, les Go-pills qui permettaient notamment à un pilote de monoplace P-51 d’escorter depuis Iwojima une formation de B-29 arrivant de Saipan jusqu’au Japon et retour, en restant suffisamment alerte pour combattre la chasse nipponne et retrouver sa base au milieu de l’immensité du Pacifique sont toujours vues comme indispensables en conditions extrêmes et pas près de disparaître, quelles qu’en soient les conséquences pour l’individu…
    Telle est la triste réalité d’un monde obsédé par la compétition: Second To None et Vae Victis!

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