Quand l’armée part en c…
Peut-être certains d’entre vous auront suivi ce reportage édifiant diffusé en novembre dernier sur l’état dans lequel se trouve le service de santé des armées. Pour ceux qui ne l’auraient pas vu, je vous laisse le soin de cliquer sur le lien ci-dessous :
Nous savons déjà depuis le début de la crise ukrainienne que notre armée est dans l’incapacité de tenir un conflit dit de haute intensité. Et ce n’est pas les envois d’armes à notre « allié », « ami » ukrainien qui arrangeront la situation.
Ni d’ailleurs le discours récent en Suède de notre président ruiné (et ruineux) qui nous convaincra du contraire. L’augmentation de la production de munitions, d’armement en tout genre, de matériels militaires n’a d’autre but que d’alimenter un pays en guerre dont personne ne sait vraiment comment il fera pour nous régler cette note qui s’annonce salée. Enfin, si on le sait puisque la vente à la découpe de l’Ukraine est déjà programmée ; par contre, les ukrainiens, je ne suis pas sûr qu’il sache précisément vers quoi leur comique de service les entraîne.
Nous avons connaissance aussi que notre armée a toutes les difficultés du monde pour recruter du personnel frais, jeune, dispo, motivé. L’engagement n’est plus ce qu’il était… Ce que l’on observe dans le civil au sein des entreprises notamment avec la perte de motivation et de cohésion au sein des équipes, nous le retrouvons aussi dans l’armée, les causes produisant les mêmes effets.
Cette situation touche aujourd’hui tous les services de l’armée et bien entendu celui auquel on ne pense pas forcément de prime abord et sans lequel, pourtant, une armée digne de ce nom ne pourrait combattre : le service de santé.
C’est tout l’objet de ce petit reportage de 6 mns qui résume assez bien le ras-le-bol de ce personnel manquant lui aussi à peu près de tout en matériel, peu considéré et subissant une pression à laquelle de toute évidence il n’est pas préparé.
La situation ressemble en tout point à celle que connaissent les hôpitaux « civils » et la profession médicale dans son ensemble, notamment dans sa partie budgétaire. Même si la loi de programmation militaire votée l’an passée a accordé une forte augmentation des crédits, il n’en demeure pas moins vrai qu’elle ne répond que très partiellement aux besoins exprimés par les médecins militaires.
Notre pays n’a décidemment pas fini de toucher le fond…
Amitiés patriotes
P.MAGNERON
Mais mon cher monsieur, notre cher pays ne touche pas encore le fond, il ne fait qu’y approcher et rassurez- vous, il a encore 3 ans pour y arriver. Mais après tout, à qui en incombe la faute, aux Français et Macron n’est que l’instrument maléfique dont ils avaient besoin . Malheureusement quand je vois et j’écoute tous les pauvres Pinochio qui s’agitent dans le bocal pour des futilités alors que le pays se meurt, j’ai grand peur que ce ne soit pas prêt de changer et tout comme l’Ukraine, la France s’avance à grands pas vers le dépeçage territorial, moral, religieux et économique.