DISCOURS DE RENTREE IDNF
Les nuages noirs s’amoncellent au-dessus de nos têtes et le calme règne.
Rien ne semble troubler la quiétude de nos compatriotes en cette rentrée studieuse pour nos chères petites têtes blondes, signal habituel de la fin de la période estivale synonyme de soleil et farniente.
Après des Jeux Olympiques et paralympiques réussis sur le plan du sport et de la fête, beaucoup moins sur le message progressiste asséné par une minorité pervertie et corrompue, fort dispendieux (mais rien n’est trop cher en Macronie quand il s’agit du portefeuille des autres), tous les regards étaient tournés vers ce monde politique moribond à qui il était demandé de sortir de cette impasse électorale dans laquelle notre Président benêt l’avait plongé.
Jamais peut-être au cours de la Vème République, autant de misérables petits calculs politiques, partisans n’auront été faits, refaits, défaits pour enfin accoucher d’une solution dont tout le monde s’accorde à dire qu’elle ne tiendra pas dans le temps.
Pire, cette solution s’inscrit tel un « changement dans la continuité » mais après tout, ne sommes-nous pas habitués depuis Pompidou à ce que rien ne change ? Les différents présidents de cette Vème république à bout de souffle n’ont-ils pas usé jusqu’à la corde cette formule creuse, devenue pléonasme dans la bouche de ceux-là même dont l’arrière-pensée en la prononçant est de conserver leurs privilèges ?
En nommant Michel Barnier Premier Ministre, notre Président illégitime s’est tourné le plus naturellement du monde vers une relation consanguine, trahissant là sans vergogne le résultat des urnes. Les votes étaient pourtant clairs, sans ambiguïté aucune pour tout analyste politique digne de ce nom : les extrêmes avaient gagné les législatives et les partis centristes sortants étaient minoritaires.
C’était oublier la duplicité, la forfaiture, l’entre-soi d’une classe politique rappelant à bien des égards une certaine constance dans la manipulation des foules tout en s’abstenant de l’écoute pourtant nécessaire du peuple prêt à mugir tel des féroces soldats.
Dans ce foutoir remarquablement bien organisé par et pour ceux qui en tirent les ficelles, il est acquis -mais avions-nous besoin de nous en convaincre ?– que la voie de la raison s’éloigne un peu plus des voix électorales.
Plus que jamais les organisations de défense de la nation française et en premier chef IDNF doivent prendre leur responsabilité afin d’éveiller encore et toujours les consciences endormies, anesthésiées à coup de football, Netflix et autres dérivatifs détournant les pensées.
Le combat d’IDNF est celui de tous les français comme force collective et s’attache à défendre principalement les fondements de notre société.
C’est celui de la famille. Traditionnelle. Elle a traversé les siècles, les millénaires et a permis à l’humanité d’être ce qu’elle est : source de vie, d’avenir, la cellule primordiale à la base de toute Société. Le spectacle, désolant, lamentable, provocateur de la cérémonie d’ouverture des JO nous enseigne à quel point la déliquescence de notre société est malheureusement avancée…
Notre combat est celui pour une école libre, libre des contraintes imposées par un Etat ventripotent, abaissant le niveau de l’enseignement à un niveau jamais atteint et obérant ainsi l’avenir du pays tout entier.
C’est enfin le combat pour une sécurité assurée pour tous tant à nos frontières que nous espérons voir rétablies qu’au sein du pays même. La banalisation des crimes de sang perpétré par une population que nous avons accueillie et qui refuse l’assimilation, bafouant nos lois et nos coutumes trouve son origine dans notre propre faiblesse morale et une justice dépassée et incomprise de tous.
Ce combat est bien celui de la lutte contre ce progressisme asservissant les peuples, détruisant les fondations millénaires des Nations et détournant l’idéal du Bien Commun, sacrifié sur l’autel des intérêts particuliers.
Il nous appartient, il vous appartient de relever ce défi en s’unissant dans cette lutte pour l’avenir de nos enfants.
Rejoignez nous !
P.MAGNERON
Président IDNF
