4 thoughts on “L’heure des choix

  1. Il faut baisser le budget de l’Armée pour augmenter celui de la Défense c’est à dire de l’arme nucléaire sous toutes ses formes, tactiques et stratégiques, et portées par tous vecteurs. Les Armées Européennes ne doivent tenir que 48H pour permettre au chef de l’Etat français de choisir entre l’utilisation de l’Arme nucléaire et la capitulation. Par contre la protection nucléaire française doit couvrir l’Europe entière et les pays Européens contribuer à son développement en sorte qu’elle devienne la première du monde par la qualité sinon par la quantité. Cette solution beaucoup moins onéreuse qu’un réarmement conventionnel général permettrait donc de mieux effectuer l’indispensable transition écologique et financer la lutte contre le réchauffement climatique.
    En outre elle placerait la France à sa place c’est à dire la première des nations Européennes, la seule à disposer d’une force nucléaire indépendante.

    1. Il nous faut conclure des accords politiques et stratégiques avec la Fédération de Russie afin de bénéficier de l’abri de son bouclier nucléaire face à la coalition nazie autour de l’Ukraine et de l’OTAN.

    2. Petit problème:
      « L’Europe entière »? De l’Atlantique au détroit de Bering (l’Oural n’a jamais été qu’une limite arbitraire et, dans la bouche du Général, une formule de politesse envers les Etats-Unis dont l’Alaska n’est qu’à quelques encablures)? Ou bien, comme je crains de le comprendre, limitée à l’illégitime UE, fruit de la trahison délibérée des élus de la Nation avec le répugnant traité de Lisbonne, en pleine connaissance de cause après l’échec du referendum? Les intérêts financiers de la ploutocratie étant en jeu, les consignes étaient passées et les politicards, sachant qui commande réellement dans nos démocraties « libérales », connaissaient les risques pour leurs carrières en cas de velléité d’indépendance…
      L’Ultima Ratio nucléaire est par essence NATIONAL et donc crédible uniquement si nos intérêts vitaux – au sens le plus strict, le plus égoïste, disons-le crument – sont immédiatement menacés et la décision entre les mains d’un Président digne de ce nom, c’est-à-dire au patriotisme, au courage et à la volonté indiscutable en cas de péril. Un vulgaire satrape de la filiale « européenne » de la multinationale nord-atlantique (ce qu’elle n’est pas près de cesser d’être, trumpisme ou pas à la maison-mère, malgré les états d’âme actuels de la valetaille bruxelloise) ne me parait guère crédible dans un tel rôle, surtout vu de Moscou (puisque c’est bien du « péril russe » qu’il s’agit -« What else? ») où l’on a appris à mépriser ce petit monde dégénéré et son agitation impuissante et jacassante de cage aux folles…

  2. L’heure des choix est là. Il est curieux de constater que le silence est grand chez ceux qui nous gouvernent ou aspirent à gouverner alors la prise de parole et d’analyse sont franches et fortes chez nos anciens
    A croire que l’expérience, la culture historique ne sont pas vaines quand la mer devient mauvaise

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