On disait de ceux qui fuyaient le communisme qu’ils votaient avec leurs pieds. Effectivement lorsque les conditions légales n’étaient pas remplies, c’est à dire quand le vote était censuré, limité, dirigé voire imposé par des Lois souvent iniques, il ne restait plus au citoyen qu’à utiliser ce qui était à sa portée – et pas toujours, c’est-à-dire ses pieds.


De même, aujourd’hui dans un pays qui se targue d’être à la pointe des fameux « droits de l’homme » et d’en donner des leçons au monde entier, ce même droit, perverti par des opportunistes secondés trop souvent par des lâches, ne permet plus au peuple de s’exprimer par la voix ou l’écrit sans être trainé devant les tribunaux. Tout cela au nom d’un antiracisme autoproclamé cachant trop souvent une haine de soi quand il ne s’agit pas plus simplement d’un syndrome sadomasochiste et/ou d’un racisme inversé. Il s’aperçoit alors subitement du pouvoir d’une cagnotte.

En Macronie, le peuple a découvert qu’il pouvait faire entendre sa voix en participant d’une façon active pour exprimer son ras-le-bol :

Ras-le-bol de la bouillie médiatique, ras-le-bol des mantras ânonnés comme sur des moulins à prière, sur le franchouillard fatalement raciste, pétainiste, réac et tutti quanti.  La doxa officielle servie chaque jour au bon peuple comme une vieille soupe rance pour qu’il se taise et approuve en bêlant des décisions dont on se garde évidemment de lui demander le bien fondé.

Oui, il découvre enfin le moyen de faire sentir et de façon cinglante à la presse aux ordres et aux bobos donneurs de leçons ce que le peuple a sur le cœur.

Ces donateurs sont ce qu’ils appellent la « populace » et bien soyons fiers d’être la populace, eux ils ont choisi la racaille, nous, la flicaille, chacun sa liberté de choix ! Ils sont tous prêts à « embrasser le flic » quand la kalachnikov fait entendre son staccato pour lui cracher dessus le lendemain à peine le canon de celle-ci refroidi.

Cette flicaille à qui on demande tous les jours de savoir, a priori, si la voiture qui force le barrage est pilotée par un terroriste ou par un « brave garçon » conduisant une voiture valant des dizaines de milliers d’euros sans disposer de revenus autres que des prestations sociales.

Curieuse appellation aussi que d’appeler « enfant » un quasi adulte capable de piloter des bolides et de forcer des barrages ! Enfant, c’est aussi bizarrement le terme employé par un ministre pour désigner les bébés victimes du migrant d’Annecy. Enfant à la place de bébé permet dans ce dernier cas d’amoindrir l’abomination du crime et dans le deuxième cas d’accentuer l’émotion pour pouvoir faire porter à un homme seul la responsabilité d’une situation intolérable. Et si ce policier était mort écrasé par la voiture, comme la gendarme Lemée en 2020, en aurait-on fait un martyr et une minute de silence à l’assemblée dite nationale aurait-elle été respectée ?

Dans la même semaine ce gouvernement appelle « enfant » un conducteur de 17 ans forçant un contrôle de police et décide d’abaisser l’obtention du permis de conduire à 17 ans ! S’il pense vraiment qu’à 17 ans on est un enfant alors ce gouvernement n’est-il pas totalement irresponsable ? Je vous laisse répondre.

Honte à ces représentants de l’État qui, trahissant leur devoir moral de réserve et surtout le droit à la présomption d’innocence, ont parlé d’acte inacceptable, lâchant ce terme aux fauves qui n’attendaient que cela pour se ruer sur ce fonctionnaire. J’en appelle aux syndicalistes de police pour refuser toute rencontre tant que ces derniers n’auront pas présenté d’excuses officielles. Si le salut est de règle, rien dans le règlement intérieur n’oblige un fonctionnaire à serrer la main de quelqu’un qui les a, par calcul ou lâcheté, abandonnés. Que chaque gendarme ou policier se souvienne qu’il sera dorénavant seul et qu’il ne saurait compter sur la loyauté de ceux qui ont abandonné leur collègue de Nanterre. Ils sont semblables à ces officiers qui abandonnent leurs hommes sur le champ de bataille dès le premier coup de feu pour se réfugier à l’arrière. Si la voiture avait foncé sur eux, ils auraient une autre vision alors s’ils n’ont pas le courage d’être de véritable gouvernants qu’ils se retirent, on ne les retiendra pas ! En ce qui me concerne, je n’aimerais pas être leur enfant et devoir les regarder en face !

Victime expiatoire de la politique désastreuse menée depuis quarante ans par tous les politiques au pouvoir, ce policier va payer pour les véritables responsables de cette tragédie.

Quarante ans qu’on nous biberonne des bienfaits d’une immigration incontrôlée et il faut bien, grâce aux médias bien-pensants et subventionnés, enfoncer régulièrement le clou du cercueil de notre pauvre pays pour que le bon peuple finisse par le croire comme la seule et unique vérité. Est mécréant celui qui met en doute la vérité révélée par la bonne presse du service dit public, est apostat et mérite la mort sociale celui qui refuse de se soumettre à la nouvelle religion. Quant à la masse de la profession médiatique, elle se repose dans le doux fauteuil du compromis avec sa conscience. On peut toutefois être indulgent avec elle car celui qui ose douter est immédiatement éliminé du cartel avec pertes de revenus et sans fracas. Le succès médiatique est trop souvent inversement proportionnel à l’honnêteté intellectuelle et les abonnés des « bons plans » du PAF qui ont leur rond de serviette dans toutes les émissions ont souvent mis au placard leur conscience à moins que le sens critique ne soit pas compris dans leurs capacités intellectuelles. La soumission semble trop souvent la règle.

Le capitalisme dont on sait depuis Giono qu’il se nourrit de la guerre, a besoin pour ses actionnaires de main d’œuvre à bon marché, bien malléable. Marx lui, affirmait que le migrant est la réserve de main d’œuvre du capitalisme. Mais ce capitalisme sans frontière a aussi besoin de consommateurs. Un africain en Afrique, compte tenu de son niveau de vie, ne peut se permettre d’acheter la dernière voiture – électrique de préférence, le dernier smartphone, la dernière smart tv et tous les derniers gadgets vantés par ces mêmes médias. Il faut lui donner les moyens d’être un néo-consommateur et quelle meilleure solution que de le déplacer vers l’Europe. Les fondations américaines dont on ne peut ignorer les liens qu’elles entretiennent avec les services US, sont là pour financer ces migrations et, en plus, permettre à ces mécènes du malheur de bénéficier d’exemptions d’impôts !

Oui, il faut aider l’Afrique à se développer mais aussi arrêter de financer des bourses pour des étudiants dont l’intégralité restera en France. Et c’est leur droit ! Construisons et finançons des universités en Afrique et dans tous les pays qui en ont le besoin. Rétablissons une assistance citoyenne qu’autrefois nous appelions coopération et permettait en outre à de nombreux Français de découvrir les valeurs humaines d’un monde différent. C’est la richesse qu’il faut exporter et non importer la misère. Qui sont les véritables responsables de ceux qui se noient en mer sinon ceux qui leur font croire au paradis européens pour le compte de financiers sans autre conscience que les rentes de leurs basses actions ?  Idiots utiles, ils sont complices de ces assassinats programmés appelés dégâts collatéraux et en font porter la responsabilité morale à ceux qui crient « casse-cou ». Quoi de plus simple que d’accuser l’autre de ses propres turpitudes !

Intérêt complémentaire, en mettant l’Europe en difficulté, en y tuant l’esprit de résistance, en effaçant son passé, sa mémoire et son âme, quoi de plus facile que d’y installer le communautarisme diviseur ? Diviser un peuple permet de le dominer. Pourtant, il existe une différence majeure entre les USA et la France ; les noirs aux USA ont été déportés, esclavagisés, traités comme on ne traite même pas les bêtes. Le colon américain, voleur de terre, avait plus de respect pour ses bovins que pour ses esclaves. Et qui profita de cet état de fait ? Le WASP dont les descendants et affiliés sont les Clinton, Bush, et Biden, c’est à dire ceux qui, aujourd’hui, s’autorisent à nous faire la morale ! L’hôpital ne se moque pas de la charité, il se moque de la misère qu’il créé chaque jour !

Mais en France personne n’a été importé de force, bien au contraire. Les lois ont toujours été très restrictives même si elles n’ont pratiquement jamais été respectées. Le mantra habituel « on est allé les chercher » est répété à l’envi parce qu’il ne faut surtout pas l’argumenter. À la question « et vous, avez-vous été cherché quelqu’un ?»  je n’ai jamais entendu la moindre réponse positive. Il s’agit d’un mythe. S’il y avait effectivement une France à reconstruire ce fut entre 1945 et 1955 mais guère plus après et les émeutiers d’aujourd’hui ne sont pas les enfants de ces immigrants légaux. Ces derniers sont aujourd’hui cadres, informaticiens, médecins, plombiers, maires, ouvriers, artisans, officiers de police ou magistrats. Ils travaillent et ont été les premiers à cotiser à la cagnotte patriotique. Ils ne veulent surtout pas être confondus avec les émeutiers qui crachent dans la main qui les nourrit.

Ceux dont les parents, attirés par la démocratie, migraient pour trouver un cadre de vie digne pour élever leurs enfants et s’impliquer dans le fonctionnement de la République ne posent aucun problème et ne forcent pas les barrages. Si nombreux étaient ceux qui conservaient leur religion, ils la pratiquaient dans la discrétion, le respect des autres et la participation à l’essor du pays qui ne les avait, il faut le dire, pas toujours bien accueillis. Je pense aux harkis dont le sort restera une tache indélébile au front du peuple français. Mais tous ceux qui sont venus uniquement pour bénéficier des prestations sociales, profiter des faiblesses du système, utiliser toutes les ficelles pour prendre sans jamais rien donner, alors ceux-là ont enfanté ceux qui mitraillent nos salles de spectacle à la kalachnikov, qui décapitent nos enseignants, tirent à bout portant sur les enfants d’une école juive, abattent nos soldats, assassinent nos dessinateurs, poignardent nos bébés, vivent du deal et finalement tuent une gendarme en forçant un barrage (*). Bien entendu, si les enfants ne sont pas responsables de leurs parents, ils sont responsables de leurs actes et doivent en accepter le prix.

À tous ces responsables s’ajoutent les associations genre SOS machin-chose qui systématiquement prennent toujours le parti du non blanc puis du non Français et en vivent financièrement très bien. Ce racisme qui ne dit pas son nom prend naissance dans le désir de se donner une bonne image de soi à peu de frais. À tous ceux qui me parlaient d’accueil de migrants, lorsque je répondais « celui que tu ne prends pas chez toi alors tu le mets chez les autres » ceux-là ne venaient plus jamais m’en parler une deuxième fois. Qu’il est doux de jouer au « généreux » avec l’argent du contribuable mais dès qu’il s’agit de sa maison ou de son argent, comme par hasard il n’y a plus personne. Je propose donc que tous ceux qui soutiennent l’arrivée de migrants, aillent en mairie se référencer pour en accueillir dans leur maison, les nourrir se serait-ce qu’un ou deux ans et répondre civilement donc financièrement des coûts induits. Gageons qu’il n’y aura plus grand monde pour se précipiter. Brel les avait si bien décrites, ces « dames patronnesses ».

Dès qu’un non blanc était en cause, il était avant toute analyse innocent et le policier obligatoirement raciste. Le tueur en série Guy George ne violait et tuait que des jeunes femmes blanches, jamais de noires ? A-t-on parlé de racisme ? Et Paulin le tueur de vielle dames, toutes également blanches, a-t-on parlé de racisme ? Et Fofana qui ciblait le juif, parce que « les juifs ont de l’argent », a-t-on parlé de racisme ? Et pourtant dans ce dernier cas il est évident qu’il s’agissait bien d’antisémitisme de caniveau !

Le problème de la systémisation du policier raciste est qu’une partie non négligeable des policiers et gendarmes aujourd’hui est justement d’origine antillaise, africaine ou maghrébine !  Qu’à cela ne tienne pour nos tenants du racisme utilitaire, ils sont donc des « traîtres ». Comme si eux, ces opportunistes du bulletin de vote, accablant le pays qui les a nourris et règle leurs solides indemnités, en étaient des sujets loyaux…

Dans un pays qui veut donner des leçons de morale et dont le président, bénéficiaire d’un des plus beau « coup du sort » médiatique jamais réalisé nous entraine à petits pas mais sûrement vers une guerre sans jamais avoir demandé aux Français s’ils sont d’accord pour y aller en chantant, ne serait-il pas temps de calmer un peu ses ardeurs théâtrales ?

Imaginez un peu cette guerre qui vient avec la mobilisation ! Imaginez la conscription dans les banlieues d’aujourd’hui ! Est-il déraisonnable de penser qu’à peine équipés, la plupart de ces jeunes revendront leur bel uniforme et dirigeront les beaux fusils tout neufs dans notre dos ? Je n’affirme rien, je pose simplement une question et vous laisse la responsabilité de votre réponse. Notre président devrait y réfléchir s’il ne veut pas que ses rêves de chef de guerre, chemise blanche, manches retroussées, barbe de trois jours, étudiant les cartes d’état-major devant les caméras, s’effondrent comme notre pays en juin 1940.  Peut-on prétendre résoudre les problèmes de violence et d’affrontement de nos voisins en fourbissant et fournissant des armes alors que notre propre maison est sur le point de d’exploser ? Et quel intérêt y-aurait-il à détourner notre regard vers l’Est sinon pour camoufler que dans notre pays on laisse germer les graines de la violence dévastatrice qui monte ? Gérard Collomb l’avait prédit, faute de vivre côte à côte, nous allons bientôt vivre face à face. Fantasme ? Il semble que le présent démontre qu’il avait, hélas, vu juste !

À la question notre président est-il plus compétent pour apporter la paix à l’Est que dans nos banlieues ou l’inverse, la réponse dans les deux cas est non !

En voyant la désolation des derniers jours, l’expression de cette haine des descendants de migrants récents envers le pays dont ils ont, trop souvent, malgré eux, la nationalité, on est en droit de se poser la question suivante : loin d’être une chance pour la France, l’immigration massive ne se révèle-t-elle pas la plus grande catastrophe pour le pays depuis 1940 ? A-t-on le droit d’en débattre sans être cloué au pilori de la bien-pensance auto proclamée ? Il semble que non ; la justice de Big Brother est en marche.

Quant à ces élus qui soufflent sur les braises en permanence pour se garantir un confortable matelas d’électeurs en tapant toujours et encore sur la police, en convainquant les jeunes des quartiers difficiles qu’ils ne doivent en aucun cas accepter les instructions de la police, ils sont en droit des complices par fourniture d’instructions mais humainement, ils sont la lie de la démocratie. Le sang de Nahel n’est pour eux qu’un agent électoral !

Alors il reste à ces français effondrés par ce qui se passe, cette cagnotte dont le montant impressionnant et surprenant puisqu’il dépasse largement le million et demi d’euros exprime le ras-le-bol envers ces assistants en herbe de la destruction programmée de notre pays.


Loin d’être diviseur, chaque centime versé est une pierre à l’édifice d’une nation qui se respecte. Le peuple que vous méprisez tant se réveille et soyez certains à présent qu’il vous demandera un jour des comptes.

Nahel a été un enfant puis un adolescent pris dans les filets des quartiers en dérive. Où furent alors les balises qui lui auraient permis d’éviter la collision avec Florian ? Balises qui auraient déjoué cette fin tragique ? Qui l’a protégé ? Quels moyens a-t-on donné aux familles, à l’Éducation Nationale, aux services sociaux, aux services judiciaires et pénitentiaires pour éviter à ces deux hommes, frères en tragédie, de se percuter à ce tragique rendez-vous ?

Et ces représentants du peuple, décideurs des budgets attribués aux administrations précédemment citées, députés et sénateurs, qui ont respecté cette minute de silence, qu’ont-ils fait pour éviter ce drame dont ces deux hommes ont été les victimes, l’un au prix de sa vie, l’autre au prix de sa liberté ? Peut-on encore espérer que ces élus agissent enfin en bannissant cet enfermement idéologique dont ils sont totalement prisonniers, ces invectives, ces insultes qui empêchent de trouver une issue et qu’au lieu de se perdre dans des débats stériles, ils choisissent enfin la vie, la défense et la protection des citoyens. Ne serait-ce pas le sens de leur rôle ?

Il ne s’agit nullement par cette cagnotte d’encourager la violence ou la haine, mais de soutenir la famille d’un fonctionnaire qui n’a, sauf à prouver le contraire, fait que son devoir, nous protéger.

Et si, victime expiatoire, il était sacrifié à tranquillité des tenants actuels du pouvoir, oubliant que ces policiers sont le rempart qui leur permet de déjeuner tranquillement dans les salons feutrés des palais de la République et non dans les barres de HLM, l’avenir qu’ils se construisent en abandonnant ce fonctionnaire à la haine des chacals, aura un goût amer et leur réveil sera douloureux.

Pour terminer, puisque la justice est en principe rendue au nom du peuple français – et non pas au nom d’une clique médiatique prévaricatrice de l’argent public, ni d’une oligarchie au service de la finance la plus abjecte et mortifère pour laquelle un migrant est un pion économique anonyme, en  signant la pétition pour la mise en liberté du policier vous affirmerez qu’en obéissant aux instructions il doit bénéficier de la présomption d’innocence durant l’instruction d’autant qu’il ne présente aucun risque de fuir la justice.

https://petition.institutpourlajustice.org/soutien-policier-nanterre?utm_campaign=policierNanterre&utm_medium=WEB&utm_source=Portail&utm_content=policierNanterrePortail01

Que vive la France de nos pères, celle pour laquelle beaucoup sont restés sous forme de croix blanches dans les campagnes de Lorraine et du nord et leur nom, çà et là sur des plaques de marbre à la croisée des chemins, ou sur les registres de Buchenwald ou Dachau, fusillés par amour de leur pays. Sont-ils morts pour que la France devienne ce qu’on a vu dernièrement ?

Ph Mulsant est ancien officier du renseignement intérieur

1 commentaire sur “2 cagnottes… 2 France

  1. Monsieur,
    J’ écrivais il n’y a pas si longtemps “y a t’il dans notre pays, dans notre France, aujourd’hui, un seul homme de la trempe des hommes magnifiques de courage qu’ont été Emile Zola, Victor Hugo, pour pourfendre nos dirigeants et leurs impérities de malheurs ?”
    Oui, il y en a !
    Un avocat Italien ET Français, Maître Carlo Brusa l’a fait, il s’est récemment exprimé magnifiquement plus d’une heure dans la lucarne de Géopolitique Profonde.
    Aujourd’hui c’est vous, ancien officier du Renseignement, qui poussez ce long cri de rage lucide qui vous vient du fond du coeur. Coeur de Français comme le nôtre, les nôtres – Français de sang, de sol ou d’adoption, de souche, de racines jeunes ou de radicelles toutes récentes, bien enracinés ou à peine en germes dans les sillons ouverts, offerts en terre de France -, coeurs, aujourd’hui étreints trop fort, si comprimés, battant plus sourdement depuis le 13 mai, battant plus sourdement encore devant le terrible constat que vous avez le courage de nommer de toute votre sincérité : … Deux France !
    Nous sommes là, poussés, portés
    par notre fierté, pour réunifier notre Patrie.
    “La Patrie, ce n’est pas seulement un coin de la terre ; c’est aussi un ensemble de coeurs humains qui recherchent et ressentent la même chose. Voilà la Patrie où l’on se sent vraiment chez soi. (Vincent Van Gogh. Lettre à son frère Théo.”
    Fière d’appartenir à la fraternité militaire, je suis comme vous tous de Place d’Armes, en résistance citoyenne.
    S.G

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *