HISTOIRES DE PRENOMS ET DE NOMS
Je constate – il me semble l’avoir déjà écrit – que notre pays est effectivement divisé en communautés. Cette situation devrait ravir toute cette frange parlementaire et partisane extrémiste, ne représentant pas grand monde dans la vie de la France, mais beaucoup dans les discours et les commentaires des médias.
Bien que très minoritaire et élue par abstention et dégoût populaire, elle se permet de hurler aux décideurs dans les plateaux télé et les tribunes, ce qu’ils doivent dire et faire pour répondre à leur souhait de dislocation de la nation. Ce n’est pourtant pas nécessaire tant se révèle au quotidien un accord sur le fond avec ces personnages au pouvoir, qui servent les intérêts étrangers, de Bruxelles et de Washington.
Cette fracture correspond en réalité au souhait de cet ensemble animé par la perspective de détruire et de transformer notre peuple en le brutalisant ou en l’anesthésiant, afin de lui enlever sa culture, ses usages, sa dimension mondiale et de lui faire parler anglais. Oui, notre pays est partagé en communautés, en deux communautés. J’écarte le groupe LGBT et consorts, activiste certes, mais marginal et loin de pouvoir prétendre à la qualification de communauté ne répondant pas aux conditions de nombre et de continuité. L’une la communauté nationale constituée par le peuple français dans sa quasi-totalité avec ses différences constitutives, et l’autre une communauté étrangère immigrée, mahométane et donc incapable, par essence religieuse, de s’assimiler; à l’exception toutefois des personnes ayant le formidable courage d’apostasier pour véritablement devenir françaises par la conversion au christianisme ou à la liberté de penser. Elle est source d’un péril grandissant.
Deux communautés se juxtaposent donc, l’une enracinée mais ouverte et moderne et l’autre aux fondements violents et conquérants, figée sur des règles moyenâgeuses, avec quelques alliés et collaborateurs intéressés, venus de la première.
La cohabitation est devenue impossible, tant les effectifs de la seconde ont grossi et nous mettent désormais dans une situation moyen-orientale. Ce « vivre ensemble » que certains esprits lunaires espèrent, s’avère une gentille utopie dans une affaire guerrière que 1500 ans d’histoire n’ont jamais réglée. N’imaginons pas avec ces doux idéalistes une lente fusion de la seconde communauté dans la première, ce qui s’inscrirait dans les principes fondateurs de notre nation. Elles sont trop dissemblables et s’inscrivent dans des civilisations fondamentalement différentes.
Les drames récents ne peuvent que confirmer une animosité montante de la communauté nationale contre la communauté immigrée prétentieuse et invasive, mais soutenue, de fait, par les autorités.
La façon de faire de nos gouvernants et de quelques pseudo-intellectuels en mal de notoriété va inévitablement déboucher sur une catastrophe. La communauté nationale subit une guerre sur son sol. Jusqu’à présent, peureusement, ou par ordre de l’étranger, les dirigeants refusaient de l’admettre. Ils sont aujourd’hui confrontés aux évidences. Leurs mensonges, la désinformation qu’ils tentent encore de mener, ou leur carence en courage, ne peuvent empêcher la prise de conscience par le peuple français de la gravité de la situation. Elle est bien sûr le résultat de fautes cumulatives ou de traitresses dérives dont les plus marquantes résident dans le maintien des accords de Maastricht, la signature de ceux de Marrakech, dans l’alignement sur les États-Unis d’Amérique, dans la folle règle du regroupement familial et dans l’aide financière et médicale aux immigrés illégaux. Aujourd’hui le peuple sature et se prépare à réagir.
Quelques événements sont particulièrement révélateurs de la dichotomie entre le peuple et le pouvoir, entre le souhait populaire de retrouver la sérénité et la trouille des irresponsables qui voudraient nous diriger et nous changer. C’est l’affaire des noms et des prénoms.
Il est vrai que multipliant les atrocités, les exaltés de l’Islam finissent par lasser les plus paisibles et conciliants des citoyens. Chaque fois des prénoms et noms appartenant à un univers de civilisation non-chrétienne, signent ces abominations. Des assassinats se succèdent, montrant de nouvelles horreurs. Ils vont de ceux commis par Mehra, en passant par le Bataclan, Charlie Hebdo, l’hyper Cacher, le massacre de Nice, le marché de Noël de Strasbourg, l’égorgement du Père Hamel, du Colonel Beltrame, du professeur Samuel Paty et du professeur Dominique Bernard ou encore l’exécution du chauffeur de bus de Bayonne, et de quelques autres terribles méfaits comme le massacre de Lola ou celui d’une jeune Lilloise, jusqu’à l’assassinat de trop, celui de Thomas dans le village de Crépol. Les victimes de musulmans féroces s’ajoutent aux victimes sans que le pouvoir ne réagisse autrement que par des discours de matamores, des tentatives de banalisation ou des formules. La justice est désarçonnée et les forces de sécurité désarmées. Mises en, accusation dès qu’elles agissent conformément à leur mission de protection de notre société, elles ne savent plus quoi faire. Cependant les gouvernants commencent à s’inquiéter, non pas, étrangement, de la montée de la radicalisation et de la violence islamique, mais de la réaction possible des Français. Étonnant, non?
En effet, lors de l’attaque de Crépol contre de jeunes Français, le gouvernement eut terriblement peur de la vindicte populaire. Bêtement il a cherché à occulter noms et prénoms des tueurs, ne réalisant pas qu’il ajoutait ainsi à la certitude immédiate sur l’origine des assassins, l’image d’un pouvoir craignant les légitimes réactions des Français. Cette crainte se montra vite fondées, car de jeunes patriotes descendirent dans la rue et, sans brûler de poubelles, sans tirer de mortiers d’artifice, sans briser de vitrines pour piller et sans offenser les forces de l’ordre, défilèrent en criant des slogans comme « la France aux Français! », « Bleu, blanc, rouge! » « France, réveille-toi! ». Quel Français digne de son statut de citoyen pourrait réfuter ces slogans simplement patriotiques? Le pouvoir insista alors lourdement : c’est l’ultra droite! sous-entendu ils sont dangereux bien davantage que l’islam. Un peu comme s’il était indécent et menaçant pour la paix civile de montrer son attachement à la France de toujours…
Enfin nos dignes autorités ont eu, un instant, le sentiment qu’elles pouvaient dédouaner la communauté islamo-immigrée du dernier attentat, celui commis à Paris sur le pont Bir Hakeim. Le prénom du tueur était Armand. Alors, elles se précipitèrent et cette fois le diffusèrent…Les Français pouvaient aussi commettre des attentats, le monopole des tueries n’était pas détenu par l’Islam. Mais patatras! malgré son prénom à consonance chrétienne, il s’agissait bien d’un islamiste iranien dont le nom de famille Rajabpour-Miyandoab, n’a absolument rien d’européen. Alors il fut répété: « c’est un Français, né en France! ». Le seul hic c’est que s’il détient bien des documents français, il ne l’est pas puisqu’il relève de cette communauté étrangère hostile à notre pays.
Autre chose m’interpelle. Il s’agit de l’excuse psychiatrique. Tous ces assassins sont des fous selon les analystes commissionnés par l’administration d’État. Ils sont donc irresponsables. Ils sont tous musulmans, extrémistes et fous. L’Islam seul produirait donc en nombre des fous dangereux? la question peut se poser quand nous constatons que les actes de ces criminels sont passés au mieux sous silence, ou approuvés par de nombreux responsables religieux de l’ouma; cette part musulmane de la collectivité humaine où chacun est responsable de la pratique conforme de ses voisins. Si nous abondons dans ce sens, il se confirmerait que l’islam est bien une idéologie religieuse à vocation totalitaire, dangereuse pour les Français et pour l’humanité non-musulmane…Il est vrai que la Sira et le Coran, que je relis régulièrement, regorgent de fières évocations des crimes commis par Mahomet et ses disciples et d’appels au meurtre contre juifs et chrétiens.
Je vais finir par croire que les dirigeants actuels et leurs associés, stipendiés ou bénévoles, sont commissionnés par la caste euro-étatsunienne pour incendier la France. Ce groupe exerçant son protectorat sur notre pays, serait donc responsable avec ses partenaires locaux, de ce qui se produit.
Que va t-il se passer? Je crois que pour des raisons diverses l’Occident dans sa configuration actuelle est en voie d’effondrement. Son immoralité, ses dérives sociales, ses absurdités géopolitiques et son rejet du divin, le condamnent. Les nations souveraines vont devenir le fondement du monde nouveau. Elles s’y préparent dans leur profondeur, mais ce changement ne se réalisera pas sans de sérieux troubles.
En France, et probablement dans d’autres pays européens, les communautés étrangères n’auront d’autre choix qu’une conversion leur permettant l’assimilation ou le départ vers des contrées islamiques dont elles sont d’ailleurs originaires. Si guerre il y a, pour accélérer ce mouvement, ce ne sera pas une guerre civile, mais une guerre de civilisations. Nous en connaissons les prémices.
Général 2S Henri ROURE
Un grand merci pour cette article écrit par le Général ROURE
Cela me rassure car je constate que je ne suis pas la seule à
constater que la France s effondre
Je suis une femme agée de 82 ans et lorsque j avais 25 ans j ai vu les premiers algériens venir en France pour travailler chez RENAULT et 2 ou 3 ans après les femmes arrivaient enceintes ou d autres avec des enfants en bas ages .Des logements leur étaient attribuées d office et d autres sont venus et encore et encore ..Ils ont eu beaucoup d enfants encore… et encore….
Et voilà nous en sommes là NOUS SOMMES ENVAHIS