Ne pas rire…
Nous apprenons une nouvelle qui pourrait être amusante si elle n’était affligeante.
Le juge des libertés et de la détention de Lille a remis en liberté sept clandestins visés par une mesure d’éloignement au motif que les droits fondamentaux des étrangers prévus par le code de l’entrée et du séjour n’étaient pas respectés.
Ecris comme cela, sans plus d’information, cela peut paraître normal qu’au pays des droits de l’homme, une telle décision ait sens.
Sauf que la raison pour laquelle leurs droits n’ont plus être respectés s’avèrent cocasse. La loit prévoit que les détenus disposent d’un téléphone en accès libre pour 50 retenus. Or, les dits-téléphones ont été cassés par… les occupants du centre de rétention les privant du coup de cette liberté individuelle de pouvoir joindre à tout moment les personnes de leur choix.
Bien joué… Malgré la bonne volonté des pouvoirs publics, laissant à disposition des téléphones mobiles, l’association SOS Solidarités (vraisemblablement subventionnée par nos impôts), a obtenu gain de cause en exigeant la remise en liberté de sept lascars qui, nous pouvons l’imaginer, sont désormais perdus dans la nature.
Merci donc au travail fourni par cette association qui, en libérant des individus en situation irrégulière, participe un peu plus à l’état de délabrement de notre pays.
Après tout, ils auraient tort de se gêner. Et puis, de toute façon, à la moindre infraction, au moindre délit ou crime, ils n’auront qu’à plaider la folie. Ca marche bien, ça , la folie. L’agression au couteau et marteau de la semaine passée à la gare de Lyon en est un superbe exemple.
Ne cherchez pas de morale à cette histoire, ça fait bien longtemps que celle-ci est en congé.
Amitiés patriotes
P.MAGNERON
Ces associations sont très très grassement financées par nos impôts, comme certains mérdias de grands chemins infiltrés par des sectes trotkistes et maçonniques. Tout ce petit monde vomit la France et les Français. C’est d’un cynisme inouï !
C’est clair, c’est le désordre total.